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Je suis né en 1959, le 28 novembre, un samedi.
Mon père me voulait musicien; j'ai donc suivi des études de piano au Conservatoire de Lyon, pour m'en évader deux ans plus tard. Je n'aimais pas leur façon de me dégoûter de la musique par la force d'un travail sans âme.
J'ai tout de même poursuivi dans cette voie en tentant l'aventure avec un groupe musical, à l'âge de dix-huit ans — j'en étais le bassiste. Il m'aura fallu plus de huit ans pour comprendre que je n'étais pas fait pour cela. Alors, je me suis souvenu de l'écriture. C'était en 1896.
J'ai toujours écrit, du plus loin que je me souvienne. Et d'abord de la science-fiction — avant de me frotter, au fil des ans, à d'autres genres: fantastique, polar, principalement.
J'ai ainsi lu "Chroniques martiennes" ou "La machine à explorer le temps", je ne sais plus. À l'âge de treize ou quatorze ans. Et puis, j'ai dévoré tout le reste.
Je ne vis pas de mon travail d'écrivain. Je suis programmeur système sous Unix. Mon seul diplôme est une maîtrise en droit privé, obtenue en 1980.
Je suis issu d'une famille de cinq enfants. J'en occupe le troisième rang.
Et comme tentative de biographie, je crois que cela suffira amplement.
Thierry Di Rollo est né le 28 novembre 1959. Auteur de romans de science fiction qualifiées de sombre, il a également été bassiste dans un groupe de musique. La violence et la noirceur de ses récits lui ont valu pas mal de critiques.
Number Nine Éd. Encrage, 1997,
Archeur, 1999 Éd. Encrage, 1999,
La lumière des morts, Éd. Le Bélial', 2002, roman
La profondeur des tombes, Éd. Le Bélial', 2003
Meddik, ou Le Rire du Sourd, Éd. Le Bélial', 2005,
Les Trois Reliques d'Orvil Fisher, Éd. Le Bélial', 2007, roman
Le Syndrome de l'éléphant, Éd. Denoël, 2008, roman
Cendres, Éd. ActuSF, 2007, nouvelles
Source Wikipédia